Nadia Sahmi

L’approche par les Us-âges, tient compte de l’Humain dans sa globalité

Nous sommes tous philocales, biophiles, additionnels et pluriels. La qualité de vie de chacun-nes est à bâtir sur ces principes fondamentaux. Leur prise en compte donnera à votre projet un supplément d’âme et un bien-être aussi singulier qu’attendu.

La santé mentale et physique de l’Homo biophile, philocale, additionnel et pluriel, à travers ses us et ses âges, passe par la bonne santé d’un patrimoine existant revisité et la bonne santé d’une biodiversité respectée.

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Nadia Sahmi us ages architecte AMOA — "L’architecture doit réapprendre à dialoguer avec le monde du vivant, TOUT le vivant."
Nadia Sahmi

Missions

Tous les projets

Le meilleur témoignage est celui de nos usagers

Je constate qu’il arrive souvent que les gens s’assoient sur l’assis-debout qui longe le muret. Cela leur permet d’attendre des amis, de patienter. Ce serait bien de rajouter des bancs aussi pour les visiteurs qui attendent la navette.
Aline
Agent d’accueil
J’ai beaucoup apprécié votre discours sur la manière dont un cadre de vie doit être pensé afin de favoriser la psyché en plus du physique.
Roland
Conférence, Cabinet architecture Montpellier
Le quartier a bien changé. Moi qui habite le quartier d’à côté, je le fuyais. Aujourd’hui, j’y viens pique-niquer avec mes enfants.
Pauline
Habitante de Pau
J’ai particulièrement aimé pouvoir prendre mon temps et m’asseoir sur les terrasses supérieures pour profiter de l’architecture et des vues
Alain
Fondation Louis Vuitton
C’est vraiment appréciable de pouvoir lire le numéro de sa place sans avoir à se contorsionner. C’est le petit détail qui fait aussi la différence dans cette magnifique salle
Laurence
Philharmonie de Paris
Il est très agréable ce jardin. On peut s’y poser et bouger avec le soleil pour s’asseoir à l’ombre des plantes sur les nombreux bancs en pierre ou en bois que l’on y trouve.
Candice
Luma Arles

Méthodologie

Méthode ou, l’Art de bâtir Humain est la métamorphose de nos manières de penser

Bien que l’architecture n’explique pas tout de la condition humaine, elle participe du développement favorable ou défavorable de l’Habitant, le valorisant ou pas, le pacifiant ou pas.

En ce sens, l’architecture doit réapprendre à dialoguer avec le monde du vivant, rechercher la cause et pas seulement les conséquences du mal-être des Habitats habités d’Habitants. Accompagner la métamorphose de l’habitant auquel elle se doit de tendre la main pour l’aider à avancer, se construire et se reconstruire.